Résumé : "Ce cours est ouvert à tous, et aucune connaissance musicale n'est
requise." Après la série Kaamelott, Alexandre Astier devient
Jean-Sébastien Bach. Le compositeur donne enfin en 2012 une master
class. Mais il peut déraper. Que ma joie demeure ! , hommage savoureux
et déglingué à J.-S. B., décortique gaiement la musique de Bach comme on
ouvre un capot de bagnole pour comprendre un moteur...
Notre avis : Si Alexandre Astier est surtout connu pour être le roi Arthur dans sa cultissime série Kaamelott, il faut savoir qu'il a, à l'origine, suivi des études poussées de musique (au conservatoire puis à l'American School of Modern Music de Paris). C'est donc en musicien accompli qu'il nous livre sa version de Bach. On y retrouve l'humour du comédien avec ce décalage entre l'époque et le langage tout en assistant à une véritable leçon de musique. En effet, si "aucune connaissance n'est requise", tout ce qui est dit sur la musique et la vie de Bach est authentique, certes arrangé à la sauce Astier mais authentique.
En conclusion, on apprend un peu, on rit beaucoup à ce spectacle au croisement entre le théâtre, la musique et le one man show.
Florian
Florian
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